Ping musical: Toehider - I Have Little To No Memory To These Memories

Monsieur jnb a fait fort, il a sorti le Rory des familles, le Rory de ma famille devrais-je dire. Car oui, Rory Gallagher est un veil ami de la famille, un souvenir remontant à l’enfance. Des notes de guitare entendus alors que je laçais mes lacets le croupion sur le plan incliné avant de partir à l’école.

Car oui mesdames, messieurs, chez les J le réveil était régulièrement musical.

Donc encore une fois je me retrouve en position d’échec, le mat n’est pas loin je le sens. Ouais, placer Rory Gallagher c’est un mouvement judicieux, toujours efficace et chargé d’une puissance dévastatrice. Pas étonnant que ce mec soit déifier par tout bon musicien qui se respecte. Le live proposé par l’auto-confiné est d’une puissance classieuse, sentant bon tout ce qui fait le rock et le blues. Un grand live !

Alors que lui répondre ? Quoi lui envoyer en face pour qu’il se dise que le gamin en a encore sous le pied ?

Trois semaines plus tard je suis enfin confiant sur mon choix. Il faut dire que j’ai pas mal tergiversé.

Et puis un message de sa part indiquant qu’il avait bien aimé réécouter Ayreon me fit tilt instantanément.

Michael Mills !

Pour l’histoire j’ai découvert ce dernier avec Toehider il y a quelques années, juste avant d’acheter ma maison d’ailleurs. Je crois bien que c’est le dernier album chargé (ouais car chez les J on ne dit pas télécharger mais charger. La télé le patriarche n’aime pas trop ça…) depuis la connexion internet de l’ancien logement, et l’album I Like It fût le premier album chargé depuis la connexion de la nouvelle. En termes de continuité, ça se pose là.

Bref, aujourd’hui c’est l’album I Have Little to No Memory of These Memories qui nous intéresse aujourd’hui, car niveau guitare le garçon s’y connait plutôt pas mal.
Toehider est un groupe en provenance de Melbourne, un projet mené par le gars Mills avec l’illustrateur Andrew Saltmarsh pour concocter un univers assez déjanté. L’album qui nous intéresse est le dernier en date, un morceau fleuve de quarante-sept minutes et quarante-sept secondes traversant tout ce que le rock et le métal ont pu produire comme son depuis les cinquante dernières années.

Les paroles sont à mourir de rire et la musique est absolument dingue. Les différents thèmes s’enchainent plus que bien, on se prend au jeu et on cherche à retrouver les influences ici et là.

Bonne écoute !

PS : Selon l’album chargé, il existe un morceau, The Hoarder, extrait du tout pour la promotion. Je vous invite donc à ne pas l’écouter pour garder le seul morceau-fleuve et ainsi d’écouvrir The Hoarder au sein de la construction.

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