Ralentir et respirer
Je remarque que plus le temps passe et plus j’abhorre l’automatisation des choses, plus je retrouve plaisir à faire le lien, à réfléchir pour agir.
J’y développe cela avec mon zettelkasten, travailler ses idées et coucher sur papier (numérique) ces dernières pour les faire se parler entre elles.
Je mets également cela en place avec la faulx. Plus long que le tracteur tondeuse alors il faut s’organiser sur les zones, penser à utiliser l’herbe fauchée. Et puis il y a surtout la transformation d’une corvée en plaisir. Car oui faire est aussi une question de plaisir.
Certe, cela nécessite plus de temps, mais je reste persuader que cela est bénéfique pour mes cellules grises, les liens faits entre un objet, une tâche, un résultat.
Et puis derrière cela il y a sans doute l’intention de ralentir, de réduire le champ d’action pour ne pas se disperser. Une certaine idée de la décroissance.
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